À l’occasion, on « tombe sur un billet » (sic) et on fait « Wow! ». Celui-ci en est un. Ce type d’objectivation cybercarnetière aide chacun de nous à situer ses propres démarches, comme l’a fait Mathieu ici, nous qui intervenons de différentes façons (ou de différents niveaux) dans le monde scolaire.
À la fin de tout ceci, la question clé demeure : « Quel est l’impact de tout ceci sur les apprentissages des jeunes? » En tout cas, le ministre va sûrement la poser…
Évidemment, on peut tout de suite penser à la motivation accrue, évidente dans ces nombreux exemples. On sait également qu’en installant bien la dimension socio-affective, l’individu s’ouvre ensuite plus facilement à la dimension cognitive. Merci Roberto.
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